Remi Chapeaublanc | Photographer

mode

Je n’attends rien de l’amour, c’est l’amour qui m’attend

Lea Chapeaublanc et Timothée Tournemine

Putain mais ce que j’aime cette douce lumière d’hiver !

Séance photo improvisée sous un grand ciel gris, avec le bout des doigts qui font froid.

Jm’en fous, j’ai le droit de dire autant de gros mots que j’veux et de mettre la musique qui me plait !

A new doll in my collection

A new doll in my collection

Et oui, ma collection s’agrandit !

La vrais question maintenant est de savoir où les ranger, car j’ai plus de place dans la cave…

My dolls collection

Yannick, Session #2 (suite)

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Yannick, Session #2

Yannick 2

Un preview de la 2ème séance photo faite avec Yannick.

Mais bon, il est 07h du mat et je n’ai pas d’inspiration pour un texte, alors je crois que je vais aller dormir…
Hein, c’est mieux, non ?

De la confiance à la confidence

De la confiance à la confidence

Ou l’inverse, je ne sais plus.

J’avais envie d’écrire, mais je ne savais pas quoi.
J’avais envie de lui dire, mais je ne savais pas comment.
J’avais envie, mais je ne pouvais pas.

Cercle de petits vicieux quand tu nous tiens ; enfoiré.
Encore une histoire d’œuf à la con et de poule au pot.
C’est en écrivant qu’on devient écrivain, mais ce n’est pas en restant con qu’on changera les choses.

Ça tombe bien, je n’ai aucune envie de changer les choses.
Juste de les rendre belles et de te faire confiance.
Ou d’avoir ta confidence et de te rendre belle ? Je ne sais plus.


(Sinon ce week-end j’étais à Lyon avec Silphi, Lâm, Justine, Nora, Ruben, Nadia, Charlotte, Sanh, Joseph, Tam, Brice, Jahzz et encore pleins d’autres gens. Il y a eu de la Lense Party, du brunch, du soleil, de la friche urbaine, de la zone militaire désaffecté, du sexe, de la rigolade, du gros son, de l’alcool et d’autres truc que j’ai oublié à cause de ce dernier… pfiou. Et bientôt l’annonce officielle pour le 19 juin.)

Armée juqu’aux dentelles

Armée juqu'aux dentelles

Quel bonheur lorsqu’une séance photo se termine, qu’on regarde les photos et que ça faisait des mois qu’on en rêvait.

Les poupées et leur peau si pâle m’ont toujours fasciné. Je m’étais donc dit que j’allais continuer dans cette voie et pourquoi pas en faire une série ? C’était sans compter que ma modèle fétiche allait me présenter Magdalena. J’ai proposé l’idée, les filles ont sauté de joie et accepté sur-le-champ ; et voici la naissance d’une séance photo « Poupées de cires et de porcelaines« .

Trouver des idées, un lieu, les modèles, une maquilleuse, un style, des vêtements… organiser une séance photo n’est pas toujours de tout repos, mais bon dieu ce que c’est excitant.

Pour cette séance, ça a donc été Emilia et Magdalena à la pose, Marie au make-up, Camille au stylisme et Pauline au prêt de salon et aux nombreux coup de main.

La séance complète se retrouvera surement sur mon Flickr -en attendant- une photo de notre poupée de cire ;)

PS : Rien à voir avec la choucroute, mais j’ai pris la photo ci-dessous cet après midi, et merde c’est beau des cils quand même !

Paupière

Permis de se reconstruire

Permis de se reconstruire

Surement la plus belle chose qui soit encore accessible à chacun d’entre nous.
Accessible ne veux pas dire à portée de main, loin de là.

Non, je ne veux pas faire d’éloges à l’amour, d’autres le feront beaucoup mieux que moi.

J’aimerais parler de l’après, cette sensation brûlante, si dure à partager, si dure à effacer.
Que se passe-t-il après l’amour, lorsque l’autre est loin de là ?
Des chagrins d’amour, quoi de plus banal en somme.
Mais quoi de plus douloureux lorsque c’est lui, lorsque c’est nous.

L’après, un tableau d’utopie qui brule devant nos yeux, un corps nu gisant sur le sol un matin d’hiver.
L’après, cette sensation qui ne nous quitte pas d’une semelle, hante nos nuits des jours durant.

Et pourtant, et pourtant…
Brûlante, elle nous réchauffe tellement parfois, telle une bouillotte trop chaude qu’on se colle sur le ventre.
Certain feront tout pour la garder au fond d’eux, tel un syndrome de Stockholm.
Pourquoi ? Pourquoi kidnapper nos souvenirs ? Pour le meilleur et pour le pire ? Foutaise.

Et si le remède à l’amour était d’aimer encore.
J’ai aimé, puis aimé, et encore aimé, mais je n’ai jamais oublié.
L’amour n’efface pas, elle soulage.
Mais si c’est si facile de passer de l’après à l’avant, pourquoi ne pas prendre un aller simple ?

Parce que l’espoir nous retiens dans ses bras.
Parce que l’isolement nous fait de l’œil.
Parce que la peur nous met un couteau sous la gorge.
Parce que tout, simplement.

Permettez-vous.

Trop heureuse pour être peureuse

Trop heureuse pour être peureuse

La peur (cf. Amygdale) est censé nous permettre de survivre, mais si elle devenait justement un frein grippé ?
Si cette peur, protectrice au premier abord, nous bloquait plus que nécessaire ?

La peur nous empêcherait-elle d’être heureux ?

A méditer…

En attendant c’est à Lyon, avec une bande de jolis loutrons (Silphi, Brice, Jahzz, Lâm, Charlotte, Justine et d’autres dont j’ai oublié les prénoms) que j’ai passé un week-end plutôt sympathoche ! Au programme : voiture, rigolades, restos, photos, jeux-video, usine désaffecté, rencontres, Lense, Lyon69… et j’en passe.

Teasing : de la photo d’usine qui fait mal aux yeux pour très bientôt.

Thomas Quenton

Thomas Quenton

Un simple billet pour vous présenter Thomas Quenton, un nouveau modèle. Nous avons fait un test ensemble, d’autres photos très bientôt.

Pour le moment c’est plutôt écriture du scénario de mon court métrage. Poser par écrit tout ce que nous avons pu sortir avec Navo (co-auteur), et penser dès maintenant aux moyens techniques pour relever le défi. J’aime plus que tout ce projet, super excitant et issu d’un réel travail d’équipe !

Tout ce que je peux vous dire pour le moment, c’est que ce sera un film en stop-motion… pas vraiment comme les autres.

Peut-on réussir ce qu’on rate ?

Une photo de Galou en highkey, par Remi Chapeaublanc

J’aime re-tomber par hasard sur des photos oubliées…

Modèle : Galou

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