Remi Chapeaublanc | Photographer

Portraits Kazakhs

Merci merci merci !

Comme vous avez pu le constater, Barbara n’est pas au mieux de sa forme en ce moment. Mais je vous rassure, si techniquement ça coince un peu, le moral est toujours là ! D’ailleurs, si Rémi garde le sourire, c’est aussi grâce à vous et à vos messages de soutien.

Notre photographe-aventurier a été très touché par toutes vos propositions d’aide financière. Oui mais il y a un petit détail qu’il est important de préciser aujourd’hui : ce voyage est 100% auto-financé. En partant, Rémi savait que ça ne serait pas forcément facile tous les jours et justement, ça fait partie du jeu. Avoir des problèmes mécaniques quand on part à moto, évidemment, on s’en passerait. Mais réussir à se débrouiller façon Mac Gyver au milieu de l’Europe de l’Est, c’est aussi ça l’esprit du projet.

Tout ça pour dire qu’organiser un Barbarathon, c’est vraiment adorable et on ne vous remerciera jamais assez pour ça. Mais si vous voulez vraiment donner un coup de pouce au projet, la meilleure chose à faire reste d’en parler autour de vous ! Cela nous aidera à trouver des diffuseurs, ainsi qu’à organiser une expo une fois Rémi rentré en France. Comme ça vous aurez même l’occasion de lui acheter un cliché et l’exposer au dessus de votre cheminée !

On vous promet que même s’il doit troquer sa moto contre un tricycle, Rémi ira jusque là-bas et reviendra avec de belles photos.

(d’ailleurs s’il y va vraiment en tricycle, l’année prochaine on l’envoie faire Koh Lanta ^^)

Partenaires : Sony décide de tester son A77 en Mongolie

Mes collaborations avec Sony ne sont maintenant plus un secret pour personne. Et pour la troisième reprise, il m’a été confié un modèle de pré-série afin d’aller le tester en conditions réelles.

Le Sony A77 sortira dans peu de temps sur le marché. C’est un appareil photo destiné aux experts et semi-pros, particulièrement taillé pour le reportage photo & vidéo.

Sony France m’a donc équipé avec tout le matériel dont j’avais besoin :

  • un boitier A77 de pré-série
  • un objectif 70-200mm f/2.8 G
  • un ordinateur portable VAIO Z pour pouvoir faire du montage vidéo en live
  • ainsi qu’un petit stock de batteries…

De mon côté, j’ai complété ma garde robe avec :

  • mon NEX-5 équipé d’un Voigtlander 15mm f/4.5
  • mes objectifs Zeiss 16-35mm f/2.8 et 50mm f/1.4
  • ainsi qu’un boitier argentique et 40 pellicules… n’oublions pas les petits plaisirs de la vie !

Sony A77

Merci à toute l’équipe de Sony France, et plus particulièrement à Edouard le responsable de la gamme Alpha.

Il y a un an et un mois, je jouais déjà devant un miroir

Il y a un an et un mois, Sony m’avait prêté un A55 pour que j’aille le tester sur les îles Lofotens, au nord de la Norvège.

Cette année, c’est avec un de leurs derniers joujous que je suis parti, le bien nommé A77. Gamme expert, miroir semi-transparent, AF sur 19 collimateurs en continu (même en mode vidéo) avec suivi intelligent des sujets, construction tout-temps… Un vrai baroudeur quoi.

En voici une petite démo, monté sur un système steadycam, le TITAN de l’Aigle.

En plein dans les galères, jour 2

Pour faire suite aux précédents épisodes de Barbaras’s galères, voici ce qui est arrivé le lendemain.

Barbara’s galères E04S01, Le mystère de l’huile disparue.

Ce matin je décide de me lever tôt, pour aller checker la moto rapidement et prendre une décision sur la suite des opérations.

Ouf, l’auberge de jeunesse a un accès Wifi… Et merde, j’y ai bien passé deux heures. Par mail, chacun y va de ses hypothèses pour comprendre le mystère de l’huile disparue. Un joint de moteur qui aura cédé ? Une fuite qui serait passée inaperçu ? Le garage qui m’a fait la vidange avant de partir qui aurait oublié d’en remettre ? Pourquoi le voyant d’huile ne c’est pas allumé ? Comment un défaut pareil aurait-il pu échapper au contrôle Honda qui a été fait avant de partir ? Ce mystère reste entier et n’a toujours pas été élucidé.

D’ailleurs, juste après avoir répondu aux emails, je suis directement allé voir la moto. Vérifier qu’il n’y ait pas de tâche dessous et regarder ce qui était devenu du litre d’huile rajouté en urgence hier soir. Soulagement et grosses réinterrogations… aucune trace d’huile et le niveau n’avait pas bougé depuis hier soir.

Je décharge donc complètement la moto et décide d’aller au centre Honda de Katowice, déniché par Clémence. Me voici donc sur la route, tout doucement comme hier soir, en essayant de trouver le régime moteur qui réduira au maximum les bruits et les vibrations.

Moment de solitude

Barbara’s galères E05S01, Le dédale de Katowice.

Ayant bien inspecté les plans avant de partir, j’arrive sans trop de problèmes à trouver ma route jusqu’au centre Honda. Mais à mi-chemin, voici le moteur qui boude et ne veut plus tourner. Petite frayeur qui ne durera pas longtemps. Je force un peu sur le démarreur et me voici reparti, avec quelques goûtes de sueurs supplémentaires sur le front.

Arrivé au garage Honda… qui n’a pas trop la tête d’un garage. Mais bon l’adresse et le nom sont bons, je me gare et entre. Une jolie polonaise m’accueille avec un grand sourire, qui s’efface vite lorsqu’elle comprend que nous n’avons aucune langue en commun. Elle me fait tout de même comprendre qu’ils ne sont pas un garage, mais juste un concessionnaire et qu’ils ne font aucune réparation. PHOOOQUE !

Je ne perds pas espoir, sort mon super téléphone-GPS-qui-me-coute-super-cher, pour aller au garage moto le plus proche… à l’autre bout de la ville. Je lance la navigation GPS, de toute façon au point où j’en suis je ne suis plus à 30 euros prêts. Et c’est reparti pour un tour à traverser la ville à la vitesse complètement dingue de 20 km/h.

Le cerveau en mode « prières », je suis scrupuleusement les indications du GPS sans me poser trop de questions. « Sortir à 350m à droite » j’exécute… OH WAIT ! Ce n’est pas une bretelle d’entrée d’autoroute que je viens de prendre ? Pourquoi ai-je la mauvaise sensation que la route où je devrais être est celle qui est pile poil EN DESSOUS de moi ?

Et me voici reparti involontairement sur l’A4… en direction de Cracovie. Chouette :(

Remoquage de Barbara

Barbara’s galères E06S01, La sortie maudite de l’autoroute A4.

Pas de panique, malgré que mon GPS me propose de faire un demi-tour en pleine autoroute, je décide de continuer jusqu’à la première sortie. 7 km plus loin je la vois arriver, je souris, le moteur bloque et j’arrête de sourire. Démarreur, rien à faire. Je pousse, la roue ne tourne plus. Un coup de kick… à oui c’est vrai je n’ai pas de kick.

Résultat, je me mets au point mort et commence à pousser pour mettre la moto sur le côté. Et bien, 220 kilos à pousser sur 500 mètres de cote, ce n’est pas ce que j’ai connu de plus simple. Un type fini par s’arrêter et sans poser de question se place derrière la moto pour m’aider à finir de la mettre hors de la route. Il ne parle pas non plus anglais et me souhaite bonne chance avec une tape dans le dos. Merci mec.

Clémence s’occupe de contacter mon assurance, c’est l’assistance qui prendra la relève. On notera tout de même que le contact polonais (qui parle parfaitement français) aura mis environ 2h30 et 4 coups de fil pour réussir à me localiser malgré mes explications en plus des dernières positions GPS…

L’attente fut longue, très longue, mais lorsque ce stéréotype du dépanneur polonais (une armoire à glace, quasi blond, la coupe mulet et des biceps gros comme mes cuisses) j’eu tout d’un coup envie de le serrer très fort dans mes bras. Je n’aurais pas pu, mes bras sont trop courts. Il était tout de même marrant ce type, car même après avoir compris que je ne parlais pas un mot de sa langue, il continuait à me tchatcher en polonais avec le sourire.

Après avoir déposé la moto dans un garage, un taxi est passé me chercher et prendre mes affaires au « Jopi Hostel » . Le taxi-men n’a pas fait le malin lorsqu’il m’a vu sortir avec ce sac à dos plus grand que moi, mes deux caisses de moto, la sacoche de réservoir et les pneus rallys…

Retour à Cracovie en taxi

Le voyage Katowice – Cracovie en taxi fut d’une tristesse incroyable, heureusement que Nicolas m’attendait à l’arrivée. Parler moto, photo et bio-informatique (en français s’il vous plait) associé à un accueil royal, me fut le plus grand bien.

Pêle-mêle de la semaine #1

Premier repas en Allemagne

Les moutons et la chèvre

Du Japon à l'Allemagne

Construction Tchèque

Début des galères, jour 1

Ceux qui suivent les aventures sur Twitter ont déjà eu un petit aperçu des mésaventures de ces trois derniers jours. Mais impossible de le résumer en un seul billet de blog, du coup je vais essayer de mettre tout le monde à niveau… en plusieurs épisodes !

Barbara’s galères E01S01, Combats en campagne polonaise.

Hier matin (enfin 11h quoi) après une soirée polonaise alcoolisé, je décide enfin de me bouger les fesses et de prendre la route pour Krakow. Cracovie est l’une de mes deux étapes obligatoires – étant donné que c’est là-bas que je pourrais y récupérer mon passeport, envoyé chez Nicolas un très bon ami d’une très bonne amie.

L’étape étant très courte et l’autoroute commençant sérieusement à me gonfler, je décide de me rallonger et de prendre les petites routes de campagnes polonaises. Ma carte d’Europe n’étant pas assez précise, je m’aide de Google Map et prend soin de noter sur un morceau de papier le nom des villes que je vais devoir suivre pour arriver à bon port.

Mais très vite, les indications des panneaux n’indiquent plus rien de ce que j’ai pu noter… je navigue au juger. Qu’à cela ne tienne, il est 14h, le soleil indique le Sud, je dois avancer vers le Sud-Est… je décide donc de naviguer au cap en m’aidant du soleil !

Petite précision pour ceux qui m’ont conseillé de prendre une boussole : je l’ai aussi envisagé avant de vite me rendre compte que c’était inutile vu les champs magnétiques que pouvait générer une moto. Si je fixe ma boussole sur la moto, c’est très simple: le nord est toujours indiqué à ma droite… pas très utile donc.

Naviguer au cap à travers la campagne polonaise, un vrai régal comparé à l’autoroute. Mais cela n’était rien encore à côté de ce qui m’attendait.

Eglise Polonaise

Barbara’s galères E02S01, A la poursuite des Tchèques.

Vers 16h, je me retrouve naturellement pas très loin de la frontière de Tchèque. Et pourquoi ne pas faire un crochet alors qu’on m’en avait fait que des éloges  ? Ni une ni deux, je fonce vers le sud.

Quel ne fut pas ma surprise, ainsi que ma déception. Non non, la République Tchèque ne m’a pas déçu au contraire. La déception était de ne pas y être allé plus tôt ! Des paysages magnifiques, des routes dans un état exemplaire, des signalisations précises et parfaitement claires et cerise sur le gâteau : personne sur les routes mise à part quelques cyclistes souriants… Un vrai terrain de jeu  et à vrai dire je m’y suis donné à coeur joie.

Mais la lumière commence à baisser et il ne faudrait pas trop tarder si je ne veux pas trop rouler de nuit. Deux motards m’indiquent la route la plus rapide pour retrouver Cracovie : « C’est simple, tu traverses la ville (Ostrava), tu verras c’est indiqué, il faut prendre l’autoroute ». Pas de soucis, je traverse la ville, et traverse la ville… et toujours rien… jusqu’à me retrouver dans des sombres quartiers HLM d’Ostrava. Je ne comprends pas, il y avait bien des indications d’autoroute, mais aucun nom de ville que je puisse localiser sur ma carte.

Une horde de gamins me tombe dessus, tout content de voir une grosse moto, mais moi là j’aimerais juste rentrer. Malgré que personne ici ne parle anglais, j’arrive à me faire comprendre. Un type m’explique la route à suivre, en utilisant uniquement des gestes et des noms de villes. Parfait, je retrouve mon chemin et prend l’autoroute dans la direction indiquée. Super… jusqu’à ce que 5 km plus loin, l’autoroute en question soit fermé avec obligation de sortir… là ! C’est-à-dire, rien qui ne soit inscrit sur ma carte.

Je cherche, je fais des tours de rond point, je reviens… et arrive enfin à comprendre à peu prêt où je suis. Je me dépatouille pour au moins franchir la frontière polonaise ; me voici de nouveau sur une route connue, en direction de Cracovie. Je roule et vite, car là j’ai hate de rentrer.

Barabara en République Tchèque

Barbara’s galères E03S01, Le retour des Polonais.

Quand soudain, encore une route barrée, évidemment sans indication ni itinéraire de déviation…

Je craque, j’allume mon smartphone, lance le GPS sur GoogleMap en roaming (pour ceux qui n’auraient pas compris ce dernier terme, ça veut juste dire que ça va me coûter très cher). Je rentre l’adresse de destination et me laisse guider avec soulagement pour la suite de l’itinéraire. Je fonce, je double, j’arrive de nouveau sur une autoroute, je continue gaz à fond, j’ai vraiment très hâte d’arriver.

Si seulement le récit s’arrêtait là, ça aurait été une belle journée. Car c’est sur cette autoroute A4, à hauteur de Katowice que mon moteur a commencé à faire des siennes. Perte soudaine de puissance, de moins en moins de gaz, je ne comprends pas… et ce bruit qui se fait de plus en plus présent. Je m’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence, fait le tour de la moto, remarque une odeur suspecte, mais rien ne me semble anormal à vu d’oeil.

Je passe deux coups de fil, l’un à Nicolas pour le prévenir de mon problème, l’autre à mon oncle pour avoir un avis technique. Il me demande de checker le niveau d’huile et écoute le bruit au téléphone. Vision d’horreur, mes deux litres d’huiles se sont évaporés. Il n’y a que peu de doutes… je viens a priori de couler une bielle. Mon moteur ne tournerait donc plus qu’avec un piston sur deux.

Il est plus de 21h, il fait nuit, je suis encore à 70km de Cracovie, je prends la décision d’aller passer la nuit à Katowice pour y voir plus clair demain matin. Clémence, la plus géniale des assistantes, prend la relève et m’envoie par sms des adresses de garages, une adresse d’auberge de jeunesse et s’occupe de contacter les bonnes personnes. Du coup, j’y suis allé tout doux avec le moteur, pour venir m’écrouler de fatigue au « Jopi Hotel » de Katowice, à 10€ la nuit.

Statue de République Tchèque

La suite des aventures, dans les prochains épisodes…

Il est 11h52 et j’ai mal au casque

Arrivé hier soir à Wroclaw en Pologne, c’est dans une auberge de jeunesse que je me suis arrêté. Embarqué par des compagnons de dortoir, voici que je me suis retrouvé avec un australien, un français et un espagnol dans une soirée ERASMUS polonaise. La bonne blague ! La vodka, elle, à 70 centimes le shot tient ses promesses… alors que moi…

Du coup je vais essayer de doucement décoller, j’aimerais être à Cracovie ce soir.

Résumé Twitter de la semaine 2011-09-26

  • Une magnifique vidéo de Mongolie faite par Wiissa http://t.co/6hABJNLS #
  • J-1 (ou la sensation de ne pas être du tout prêt) #
  • Je pars demain, et j’ai seulement rendez vous chez le médecin dans 40 min. Et s’il m’annoncait que je pouvais pas partir ? #stress #
  • Lorsque je demande à @Klaims de m’acheter du savon, elle me prend un PUTAIN DE SAVON DE BASTAAARD !!! http://t.co/TrZbKUto #
  • Opération… TROUSSE DE PREMIERS SOINS o/ http://t.co/Lbg0fZNY #
  • Et hop, six préservatifs dans la trousse de secours ! Bah oui, un par mois ! #
  • J’annonce : j’emporte 2 caleçons, 6 préservatifs et 7 objectifs. Le tout pour 6 mois, c’est suffisant ? #
  • Dernier café « A la française » http://t.co/hzjgB82Q #
  • Ça y est, les premières larmes commencent à tomber. Enfin ça vient, et bordel ce que ça fait du bien. #
  • De 25cm de garde au sol, je suis passé à 10cm. Je comprend pas pourquoi… http://t.co/2s3Q9bZx #
  • Barbara est chargée comme jamais ! Un dernier stop pour déjeuner et c’est le grand départ ! http://t.co/IfMGO0XP #
  • Paré au départ ? GO GO GO !!! http://t.co/V85Jwugr #
  • C’est une grosse blague, je suis encore dans paris. À cette vitesse je vais user mes freins plus vite que mes pneu… >_< #
  • Premier stop pipi / essence / coca. Pour le moment j’ai atteind là vitesse COMPLÈTEMENT DINGUE de 110 km/h (max)… #
  • Bien arrivé en Belgique chez @veuch ; c’est un accueil royal, avec des croques monsieur en gauffres belges o/ http://t.co/dzUG6JLL #
  • Vous voulez rire ? J’ai oublié mon deuxième caleçon… #veridique #
  • Quand mes potes pensent à moi, et me prouvent qu’on peux toujours s’en sortir seul dans la steppe… http://t.co/KPzf7xiQ via @studiosushi #
  • QOTD chez @veuch : « Si tu as compris la politique Belge, c’est qu’on t’a mal expliqué » #
  • J’ai acheté DEUX caleçons chez H&M. Ce qui m’en fait maintenant TROIS pour 6 mois… Mais que vais-je faire de tant de vêtements ??? #
  • Et c’est parti pour la deuxième étape ! Vous pouvez denouveau suivre la carte, l’option « monde » a été réactivée : http://t.co/R9lO9Pzw #
  • Punaise, septembre en Belgique c’est déjà l’hivers ? J’avoue, j’ai allumé mes poignées chauffantes… #
  • Petit stop à Liège. Obligé je me fait une gaufre ! #
  • Encore une frontière de passée. Une pensée pour @nadiawicker et @chaline mes deux Allemandes ;) #
  • Certes, les autoroutes allemandes sont bien, mais je cherche encore ma 6 ème vitesse… #
  • Problème technique pour Barbara, je décide de m’arrêter à la première sortie, et là devinez sur qui je tombe ? http://t.co/S0cYg0Ae #
  • Les loulous, on a besoin de vous ! Y’a t’il un mécano dans la salle ? http://t.co/ZlhA2xU0 #
  • Pause Burger King juste pour avoir du WiFi gratos… je suis tellement faible ! http://t.co/jnwugFSK #
  • Merci pour vos conseils sur le pignon d’entraînement de vitesse. Je démonte tout ça ce soir si j’ai le temps o// #
  • Mais comme m’a dit un ami : « Le compteur de vitesse ? Ça sert à rien sur une moto, je sais même pas pourquoi ils en mettent un. » #
  • Il est 8h, il fait bien frisquet et j’ai du plier ma tente malgré la rosée. Vivement le stop séchage et ptit dej quand le soleil sera là o/ #
  • Encore une frontière franchie, une pensée pour @magdalenakorpas ma polonaise ;) #
  • L’autoroute c’est bien pour avancer, mais là je commence à en avoir un peu mare. Demain c’est décidé, c’est CAMPAGNE POLONAISE ! #

J’ai connu des matins plus encourageants…

Je plie ma tente malgré la rosée encore fraîche, j’annonce de bonne humeur le début de mon étape sur twitter, je charge la moto et au moment de poser le dernier élément, ma sacoche de réservoir… la moto bascule de l’autre côté, impossible de la retenir, je préfère amortir sa chute.

Un matin encourageant

Je n’ai plus qu’à tout recommencer… ça m’apprendra à ne pas faire attention aux faux plats /o

Pas de paniques, aucun dégât, ni même une égratignure sur le graff de Veuch o/

Remi VS pignon d’entrainement de compteur

Comme vous avez pu le lire, grâce à Clémence, j’ai encore un souci avec mon compteur de vitesse. En soit ça ne devrait pas être si gênant que ça ; car en connaissant un peu la boite de vitesse et en regardant son compte tour, on peut vite évaluer à quelle vitesse on roule. Mais mon soucis est plutôt au niveau du “Master Trip” qui est un outil dédié aux raids.

Le Master Trip c’est un compteur électronique qui permet d’enregistrer, avec plusieurs comptes séparés, ses étapes en km et en temps. Par exemple, j’ai 3 compteurs kilométriques, le premier me sert à mesurer la distance totale parcouru pendant le périple, le deuxième mesure la distance que je fais à chaque étape et le dernier qui est un compteur inversé me permet d’évaluer combien il me reste de km avant de ne plus avoir d’essence. Petit outil, mais bien pratique !

Mais voilà, sans compteur de vitesse, le Master Trip ne fonctionne plus non plus.

Roue avant de Barbara démontée

Donc aujourd’hui, je me suis arrêté un peu plus tôt afin de démonter ma roue et vérifier si c’était bien le pignon d’entrainement qui s’était usé prématurément.

Après une bonne demi-heure de bataille et un tournevis qui essaye de m’attaquer la main, voici que je réussis enfin à extraire ce pignon en plastique. Au final ce n’est pas la roue denté qui s’était usée, mais la partie à créneau côté roue qui avait lâché. Mais si cette partie a cédé, c’est bien parce que le pignon de bout de câble était lui bloqué. J’ai réussi à le débloquer, à coup de lubrifiant, mais je n’ai pas vraiment trouvé la cause de ce blocage. Le câble quant à lui tourne “a peu prêt” librement.

Pignon d'entrainement de compteur

J’ai donc remis le tout sans la pièce cassée, avec tout de même une petite frayeur au remontage… le soleil qui se couchait et la roue qui ne voulait plus rentrer dans son emplacement, la faute aux étriers de freins qui faisaient des leurs. Un bon coup de tournevis et tout est rentré dans l’ordre. La suite au prochain épisode !

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